Deux personnages se battent au bureau

Certains signes devraient vous alerter et vous indiquer que vous devrez mobiliser vos expertises internes ou aller en chercher de nouvelles. À l’avis des experts, la pire solution est alors d’attendre que les problèmes se règlent d’eux-mêmes.

Mais il faut s’assurer d’une analyse assez fine pour ne pas aggraver le problème en tentant de le régler, ce qui suppose aussi de dépasser les solutions centrées sur le plaisir.

La première étape est d’en reconnaître les symptômes

La pointe criante de l’iceberg

  • Les manifestations de manque de civisme (agressions, menaces, harcèlement) commencent à se faire sentir.
  • L’absentéisme et les problématiques de santé mentale grimpent en flèche.
  • L’entreprise vit une crise de l’image qui affecte la fierté d’en faire partie et complique le recrutement.

Les maux plus insidieux

Saviez-vous que…

La firme de ressources humaines canadienne ADP constatait également, à travers un sondage, qu’en 2016, outre les employés qui restent avec leur détresse professionnelle, 65% des employés canadiens seraient prêts à quitter leur emploi actuel, et plus de la moitié de ceux-ci (33%) sont des employés dont la motivation et l’attachement au milieu de travail se sont effrités avec le temps.

Et l’importance accordée à ce bien-être au travail tend à s’accroître chez les les travailleurs de la génération Y et les milléniaux. D’après ce que rapporte l’étude sur les Valeurs et attitudes des jeunes travailleurs à l’égard du travail au Québec : une analyse intergénérationnelle, publiée en 2018, le premier critère sur lequel les jeunes baseraient leur choix d’entreprise de travail serait les « bonnes relations avec les collègues de travail (66,3 %).

Les gestionnaires ont dont avantage à éviter à tout prix le cercle vicieux du roulement de personnel.

Voyez les autres avantages à agir avant d’en arriver là.

Détectez les contextes propices à la crise.

Revenons-en à ce que nous pouvons faire pour vous.